PROXIMO Revue de presse 14 11 2017

Le Matin

L’Université Ibn Tofaïl se distingue à la Foire des inventions en Corée du Sud

L’Université Ibn Tofaïl de Kénitra ne cesse de consolider son positionnement international et d’améliorer ses performances dans le domaine de la recherche et de l’innovation. L’un de ses jeunes chercheurs, le doctorant Abdelkader Mezouari a reçu une médaille d’argent au «Bitgaram International Exposition of Electric Power Technology» (Bixpo 2017), foire internationale des inventions, qui s’est déroulé du 1er au 3 novembre 2017 dans la ville de Gwangju en Corée du Sud. À travers son Laboratoire de recherche GESE (Génie électrique et Systèmes énergétiques) relevant de la Faculté des sciences et dirigé par le Pr LaamariHlou, en collaboration avec le laboratoire GEST de l’école Nationale des sciences appliquées, l’Université a porté haut les couleurs du drapeau national.

Cette haute distinction a concerné un domaine très pointu de génie électrique, plus précisément le Système de mutualisation de blocs photovoltaïques (Photovoltaic Blocks Mutualization System). Cette invention, comme l’explique son inventeur, un jeune natif de la ville de Nador, est relative au développement d’un procédé et système de pilotage des blocs photovoltaïques aux profits des sites isolés, non raccordés au réseau de distribution électrique, afin de pouvoir mutualiser et partager le surplus de l’énergie électrique produite entre les différents foyers du site isolé. Cette distinction est le fruit d’une brillante carrière scientifique du jeune Abdelkader Mezouari. Il a déjà à son actif le 1er Prix du concours national universitaire sur l’entrepreneuriat du projet Tempus «Développement des compétences entrepreneuriales dans l’Université marocaine – catégorie : créativité, connaissance et culture». Un prix qu’il a obtenu en avril 2017. Il a également remporté, en mai 2016, le 2e Prix à la compétition «Let’s challenge – International workshop on optimization and applications » de l’Ecole nationale des sciences appliquées de Kénitra (ENSAK).

Il est à souligner que le Bixpo figure parmi les plus importantes manifestations scientifiques et technologiques internationales, organisées par la grande compagnie coréenne Kepco (Korea Electric Power Corporation), avec la collaboration et le soutien de grandes entreprises du Pays du Matin calme, telles que Hyundai, LS IS, Samsung SDI et Doosan Heavy Industries & Construction. Cette grande exposition a attiré cette année plus de 60.000 visiteurs et plus de 3.000 inventeurs provenant de plus de 48 pays spécialisés dans l’électricité, l’énergie, les TIC, l’écologie et les sciences domestiques. Lors de cette édition, le Maroc, représenté par 7 jeunes inventeurs seulement, a pu obtenir 14 distinctions, alors que les participants d’autres pays, y compris les plus développés, plus nombreux n’ont pas pu avoir un tel palmarès. Les jeunes inventeurs marocains ont dû se démarquer parmi plus de 200 autres participants venus des quatre coins du monde. Ils sont venus présenter leurs inventions dont l’objectif ultime est de révolutionner le domaine de l’énergie, de l’électricité et de l’informatique, tout en étant respectueux de l’environnement.

aujourd'hui

Pêche artisanale : 16.418 barques ciblées

L’identification des barques par radiofréquence est désormais effective. L’opération a été lancée officiellement à Al Hoceima où plus de 100 barques sur les 597 immatriculées dans ce port ont été pourvues du système d’identification par radiofréquence. C’est ce que vient d’annoncer le ministère de l’agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts. Cette opération s’inscrit dans le cadre du renforcement de la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée. Elle couvrira toute la flotte de pêche artisanale nationale et ce sur un délai de 14 mois. Ainsi plus de 16.418 barques sont ciblées dans les 156 ports et sites de pêche du littoral marocain.

L’opération lancée par le département de la pêche maritime porte sur l’acquisition et l’installation d’un système d’identification par radiofréquence. Ce système s’articule autour de six grandes finalités. Il permettra ainsi l’identification automatique de la barque par radiofréquence facilitant ainsi l’obtention d’informations précises et immédiates sur la barque de pêche. Citons dans ce sens le nom de la barque, son propriétaire, son numéro d’immatriculation et sa licence de pêche. Le système a également pour finalité de lutter contre la falsification des nom et numéro d’immatriculation de la barque. Il préservera également les barques de pêche contre le vol. Le lecteur de l’identification des barques nationales de la pêche artisanale par radiofréquence peut être utilisé pour la déclaration des captures. Le système permet, en outre, de saisir les données et capturer l’image des barques.

Notons que le ministère de l’agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts a procédé à l’installation d’un système de positionnement et de localisation en continu (VMS) dans l’ensemble de la flotte côtière et hauturière. Ceci permettra ainsi d’identifier et suivre l’activité en mer de la flotte de pêche en temps réel. Se référant au département de la pêche, ces dispositifs permettent un meilleur contrôle des flottes. Ils contribuent, par ailleurs, au renforcement de la gestion durable des ressources halieutiques et à l’amélioration des conditions d’exercice des activités de pêche pour les marins.

Plus de 53 milliards DH générés par l’activité touristique

Les indicateurs touristiques en constante progression. Les statistiques relevées à fin septembre démontrent une tendance positive de l’activité dudit secteur. Ceci se traduit par une hausse aussi bien des arrivées et nuitées que celle des recettes. Le tourisme national a généré sur les neuf premiers mois de l’année 53,7 milliards de dirhams dont 7 milliards de dirhams durant le mois de septembre. Les recettes touristiques se sont ainsi inscrites en hausse de 2,6% par rapport au mois de septembre dernier et de 4,6% comparé aux neuf premiers mois de l’année précédente. De janvier à septembre 2017, le Maroc a accueilli 8,85 millions de touristes. Un flux en hausse de 8,9% par rapport à la même période de l’année précédente. Ces arrivées sont constituées de 4,29 millions de touristes étrangers de séjour (+13,2%) et de 4,56 millions de Marocains résidant à l’étranger (+5%).

Cette progression, telle qu’elle est vue par l’Observatoire du tourisme, résulte de la performance de  l’ensemble des marchés émetteurs. Le marché des Etats-Unis a vu ses arrivées se consolider de 23% par rapport à la même période de l’année précédente. Le marché allemand a enregistré une performance de 13% comparé aux neuf premiers mois de l’année 2016. Les marchés espagnol et allemand ont affiché un rythme de croissance similaire évalué à 8%. De même, une hausse de 6% a été observée au niveau des arrivées des marchés français, italien et belge. Le flux des touristes britanniques ayant visité le Maroc sur les neuf premiers mois s’est redressé pour sa part de 4%. En outre, les arrivées des marchés émergents ont continué sur leur trend haussier. La Chine a enregistré dans ce sens un pic de 242% contre une performance de 40% pour le marché japonais.

Cette dynamique d’arrivée a été accompagnée par un bon élan de nuitées. Une amélioration remarquable a été relevée dans ce sens, soit une hausse de 15% par rapport à la même période de l’année précédente. Ainsi, les établissements d’hébergement hôtelier classés ont enregistré sur les neuf premiers mois 16,73 millions de nuitées réalisées en grande partie par les non résidents, soit 11,15 millions de nuitées (+19%). Les résidents ont réalisé pour leur part 5,58 millions de nuitées depuis le début de l’année à fin septembre (+8%).  Par marché émetteur, les nuitées des touristes allemands ont grimpé de 49% sur les neuf premiers mois de l’année. Les Américains ont vu leurs nuitées au Maroc progresser de 29,9%, contre 24% pour les Néerlandais, 19% pour les Espagnols, 18% pour les Portugais, 16% pour les Français, 10% pour les Belges et 6% pour les Britanniques. En revanche, les nuitées réalisées par les touristes en provenance des pays arabes se sont nettement retractées entre janvier et septembre 2017. La baisse relevée à fin septembre est de 14%.

De ce fait, le taux d’occupation s’est renforcé de trois points atteignant à fin septembre 43%. L’Observatoire du tourisme note à cet effet une hausse des nuitées dans les principales destinations touristiques du Maroc. Marrakech et Agadir continuent d’attirer le plus grand nombre de touristes. Les hôtels classés de la ville ocre ont enregistré 5,77 millions de nuitées à fin septembre contre 4,27 millions au niveau d’Agadir. Le taux d’occupation dans les deux villes a atteint 52% pour Marrakech et 55% pour Agadir. Notons que les plus fortes hausses des nuitées effectuées dans les différentes villes du Royaume ont été observées à Ouarzazate et Fès. Les nuitées ont grimpé respectivement de 35 et 36%. Le taux d’occupation a atteint à Ouarzazate 24% contre 33% à Fès.

Stratégie 2013-2017 : La HACA dresse le bilan à mi-parcours

Sanctions, plaintes et autorisations… la Haute Autorité de la communication audiovisuelle a dévoilé récemment les premiers résultats de sa stratégie 2013-2017. A mi-parcours, l’institution indépendante a émis 23 sanctions dans le cadre de sa réglementation du contenu audiovisuel. A ce stade, 5 sanctions pécuniaires, 7 avertissements et 11 préavis ont été prononcés sur la période 2013-2015. 51 décisions ont également été émises pour non-respect aux dispositions des lois et des règlements relatifs à l’éthique. Celles-ci concernent essentiellement la dignité humaine, la présomption d’innocence, le jeune public, la sincérité des informations et des programmes ou encore la programmation.

Dans son rapport triennal, l’instance de régulation a souligné que 34 avertissements et 17 préavis ont été adressés aux concernés. Quant aux requêtes, 95 plaintes ont été traitées durant les trois premières années. L’institution indépendante a émis 5 décisions sur l’ensemble de ces plaintes. En revanche, elle n’a pas donné suite à 90 plaintes qui ne remplissaient pas les conditions exigées par l’article 4 du dahir portant création de la Haute Autorité de la communication audiovisuelle, qui permet de saisir le Conseil supérieur des organismes politiques et syndicaux ou associations reconnues d’utilité publique. L’institution a également expliqué qu’il n’existe pas de cadre juridique ou réglementaire pour encadrer certaines de ces plaintes. Il s’avère aussi que les sujets portés par ces saisines ne rentraient pas dans les compétences de l’autorité de régulation. Et de préciser qu’au cours de la même période, 11 demandes de mise au point ou réponses ont été traitées. Le régulateur de la communication audiovisuelle, public et privé, a également mis en exergue les autorisations et les permis attribués durant la première partie de sa stratégie.

Ainsi, Medi 1 tv avait obtenu à ce titre l’autorisation d’émission pendant 5 années supplémentaires renouvelables deux fois. Cette décision survient après la restructuration du capital social de la société et suite à l’entrée en participation de nouveaux actionnaires privés. Selon son nouveau cahier des charges, la société est par conséquent passée d’un service public à un service privé. Par ailleurs, la HACA a donné 7 autorisations pour des émissions audiovisuelles organisées à l’occasion d’évènements dont le Festival du film de Marrakech, le Forum international des droits de l’Homme, ou encore l’opération Marhaba. Et de souligner que le premier bilan de sa stratégie a connu «la mise en œuvre des nouveaux outils de régulation induits par la Constitution, ayant largement consacré la liberté d’expression, l’Etat de droit et les droits du citoyen, et met en exergue la démarche adoptée par le régulateur, au regard de l’expérience accumulée dans la mise en œuvre du dispositif normatif encadrant la liberté de la communication audiovisuelle». Plus encore, ce rapport triennal met en lumière les dimensions de l’action de la Haute Autorité de la communication audiovisuelle relevant de son champ de compétence, à savoir les normes, le monitoring, la coopération internationale, ou encore la gouvernance interne. Il s’inscrit «dans le respect des principes de transparence, de responsabilité et de reddition des comptes consacrés par la Constitution et repris par la loi relative à la Haute autorité de la communication audiovisuelle, entrée en vigueur en septembre 2016, et ce dans le contexte des nouvelles dispositions constitutionnelles relatives aux rapports annuels des institutions de gouvernance», indique la Haca.

Investissement dans l’audiovisuel : Le public se taille la part du lion

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La part des investissements publics a atteint 82% dans le secteur, soit 157,2 millions DH en 2015 contre 18% seulement pour les investissements privés, soit 33,6 millions DH. Quant aux financements, la Haca a constaté que le secteur dépend faiblement du secteur bancaire.

Elle explique cette tendance par la méfiance des banques à l’encontre du secteur de l’audiovisuel jugé risqué de leur point de vue. Pour le capital humain, le secteur de l’audiovisuel national a connu une hausse de 3,6% entre 2013 et 2014, précise la Haca.

Plus encore, l’institution a dévoilé que la masse salariale annuelle a atteint 982 millions DH sur la même période, soit une hausse de 6% enregistrée entre 2013 et 2014. Dans un autre sens, la Haute autorité a mis en exergue la situation financière des pourvoyeurs audiovisuels publics et privés réalisé en 2015, ces derniers ont en effet enregistré une hausse de 3,4% sur leur chiffre d’affaires, soit 1,149 milliard DH en 2015 contre 1,111 milliard DH comptabilisés en 2014. Plus en détails, le secteur public a dans ce sens atteint 69% de ce chiffre d’affaires, soit 795 millions DH dont la majorité vient de la publicité.

Quant au chiffre d’affaires du secteur privé, l’institution a fait savoir que celui-ci ne représente que 30,8% du chiffre d’affaires global.

leseco

PLUS DE 2 MILLIONS DE MAROCAINS SONT DIABÉTIQUES

Au Maroc, plus de deux millions de personnes âgées de 25 ans et plus sont diabétiques dont 50% sont des femmes, souligne le ministère de la Santé.

Dans un communiqué publié à l’occasion de la journée mondiale du diabète célébrée cette année sous le thème «les femmes et le diabète», le ministère indique que la femme marocaine diabétique est confrontée à plusieurs contraintes pour contrôler sa maladie et ceci tout en assurant ses responsabilités familiales et professionnelles, ce qui peut engendrer des conséquences graves, en l’absence d’un suivi médical régulier.

Conscient de l’importance de la prévention et le contrôle du diabète, le ministère de la Santé l’a inscrit comme priorité dans sa stratégie sectorielle.

Parmi ces mesures figurent aussi l’augmentation du budget alloué à l’achat des médicaments antidiabétiques, le renforcement de la communication sur le diabète et ses complications et le développement du partenariat avec les organismes de prévoyance sociale, le secteur privé et la société civile notamment en matière d’éducation thérapeutique et du diabète de l’enfant.

À ce titre, le ministère de la Santé assure les soins nécessaires et la disponibilité des médicaments gratuitement au niveau des établissements de soins de santé primaires à 748.000 diabétiques dont 64% sont des femmes et plus de 325.000 sont insulino-traités et mobilisent une enveloppe budgétaire annuelle d’environ de 156.700.000 DH pour l’achat de l’insuline et les antidiabétiques oraux.

Et environ 15 MDH pour l’acquisition du matériel médico-technique et des réactifs pour assurer le dépistage du diabète et le suivi métabolique des diabétiques, fait savoir le communiqué.

Le diabète connaît une expansion très significative, selon les dernières estimations de l’OMS et de la Fédération internationale du diabète (IDF) (2016), 422 millions de personnes dans le monde sont diabétiques, ce chiffre atteindrait 552 millions d’ici 2030, soit une personne sur dix et la moitié des personnes atteintes de diabète ne sont pas diagnostiquées.

Actuellement, Il y a plus de 199 millions de femmes diabétiques dans le monde soit 47% et ce total devrait augmenter à 313 millions.

Challenge

Mutandis met la main sur le fabricant de jus Marrakech

Si la bourse est un moyen opportun pour financer le développement et gagner en notoriété, il n’est manifestement pas le seul. Et Mutandis qui s’est fait rabrouer par le gendarme des marchés en 2015, lequel lui a refusé le sésame d’une IPO, pourtant courageuse dans le contexte boursier des dernières années, en apporte bien la preuve ! En effet, selon des sources proches du dossier, le groupe dirigé par Adil Douiri est sur le point de renforcer son Pôle de biens de grande consommation par une des marques phares du jus au Maroc. Il s’agit de Marrakech qui représente près de 10% du marché marocain du jus industriel et dont le détenteur Citruma connaissait des difficultés financières depuis plusieurs années.

Aussi, après de longs mois de négociations, Mutandis serait arrivé à un accord avec les actionnaires de Citruma pour en prendre le contrôle dans le cadre d’une augmentation de capital réservée. L’argent frais à apporter incessamment devrait servir, d’une part, à désendetter l’entreprise basée à Kénitra (et dont l’endettement était devenu insoutenable) et, d’autre part, à relancer l’activité qui est au ralenti depuis plusieurs mois. Il faut dire que le nouveau maître des lieux a déjà réussi une opération de pur retournement industriel en rachetant, en 2008, le fabricant de détergent Distra dont l’usine de Berrechid était quasiment à l’arrêt. Aujourd’hui, cette filiale est le principal fleuron du groupe qui revendique un chiffre d’affaires consolidé de 1,4 milliard de dirhams.

Rappelons que Mutandis connaît bien le secteur des jus pour être déjà partenaire des marques Miami Pulpy (détenue par Coca Cola Maroc) et Al Boustane (qui appartient à Margafrique) auxquels il fournit des solutions industrielles de bouteilles en PET et de bouchons à travers sa filiale CMB Plastique Maroc. Cette opération de croissance externe viendra allonger son portefeuille de marques propres telles Maxi’s, Magix, Wash et Nex dans les détergents et Le pêcheur et Sardinen dans les produits de la mer.

LA VIE ECO

BANQUES : UNE NOUVELLE CIRCULAIRE DE BAM POUR ENCADRER LES DÉPASSEMENTS NON AUTORISÉS

Bank Al-Maghrib ne voit pas d’un bon œil le laxisme des banques dans la gestion des facilités et découverts de la clientèle. D’après des responsables de quelques établissements de la place, la Banque centrale est sur le point de sortir une circulaire pour mettre de l’ordre dans l’octroi des dépassements ponctuels et encadrer le pouvoir, jusqu’ici discrétionnaire, des banquiers.

Selon les premières indiscrétions, l’institut d’émission obligera dorénavant les banques à provisionner les dépassements non autorisés enregistrés sur les comptes de la clientèle. Tous les montants et les natures de comptes seront concernés pour des durées plus ou moins longues. Les banquiers expliquent que par définition un dépassement en compte doit être ponctuel et résorbé dès rentrée de la ressource, généralement le salaire (pour les personnes physiques) ou le produit de chiffre d’affaires (pour les entreprises et professionnels). Passé un certain délai, il bascule vers un dépassement structurel et représente de ce point de vue une créance en souffrance. A rappeler que cette circulaire en gestation chez BAM fait suite à celle sur les nouvelles règles de provisionnement et de classification des créances en souffrance.